Les élèves en font toute une BD (volume 2)

Les élèves du collège Martin Schongauer d’Oswald se sont aussi emparés du roman « Les monstres de Rookhaven » pour une mise en images. Dessins, découpage de l’histoire, cadrage, assemblage des vignettes, un vrai travail de dessinateur de BD.

Admirez le travail !

Les élèves en font toute une BD (volume 1)

Les élèves du collège Martin Schongauer d’Oswald ont réalisé une adaptation du roman de Nadia et Pauline Coste. Attention, il y a du talent parmi ces graines de de dessinateurs !

Atelier écriture au collège Caroline Aigle

En s’inspirant du roman La meute d’Adèle Tariel, les élèves de 4ème du collège Caroline Aigle se sont emparés de la thématique du harcèlement pour écrire un texte fort dans lequel un personnage raconte ses années collèges. C’est beau !

Séance photos avec les élèves du collège de l’Esplanade

Les élèves de 5ème du collège de l’Esplanade ont été créatifs ! Ils ont imaginé une mise en scène à partir des romans pour vous donner envie de les découvrir. Devinerez-vous en quoi le fameux fromage Mont d’Or de L’âge du fonds des verres a été transformé ? Réponse : regardez attentivement le petit fromage carré sur la première photo !

Ici ! Les élèves du collège Louise Weiss ont réalisé des bandes annonces pour vous donner envie de découvrir les livres qu’ils ont aimés

Made with Padlet

Créations d’élèves

Les élèves de 5ème 3 du Collège International de l’Esplanade sont très investis dans leurs lectures. Voici une sélection de « carte mentales » réalisées par les collégiens. Un exercice de synthèse qui permet en un coup d’œil de donner un aperçu du roman. Bravo et merci pour leurs belles contributions !

Attention : scènes inédites

Douze ans

Les élèves de 3ème du collège Jean Monnet ont pris la plume de Lorris Murail pour inventer et écrire des scènes inédites du roman « Douze ans, sept mois et onze jours ». Ils se sont glissés dans la peau des personnages pour essayer de comprendre leurs pensées, leurs motivations, leurs émotions. Voyez le résultat : c’est très créatif !

Si Walden osait parler à son père, il lui dirait :

« Papa, comment as-tu osé me faire ça ? Me détestes-tu tant que ça ? Tu m’as toujours pris pour un faible, mais as-tu déjà vu le vrai moi ? On a toujours été proche, mais du jour au lendemain, tu as montré ta vraie face. Tu sais quoi ? Je peux très bien me dérouiller sans toi. Tu trouves ça normal, de laisser ton propre fils seul dans une forêt ? De l’abandonner sous prétexte qu’il est faible ? Moi non. Pourquoi tant de haine ? »

« Une mauviette. Un fragile et pas sportif. Ça c’était avant. Avant, j’en parle plus. Maintenant, c’est le présent. Un homme, un vrai, c’est moi. Affronter la vie et ne pas l’éviter, c’est toujours moi. N’importe quelle situation, je la regarde en face. Sur le physique, je suis encore petit, mais mentalement je suis grand. Avant c’était la maison, maintenant c’est la forêt. J’ai arrêté de pleurer. »

Si l’orignal de la forêt pouvait parler, il dirait :

« Vous les hommes, vous n’êtes bons qu’à détruire, brûler, tuer les habitants de ma douce forêt. Si vous continuez, la forêt vous emprisonnera. Les aigles vous survoleront, les castors créeront des barrages pour faire monter le cours de l’eau et vous vous noierez. Seule la montagne pourra vous sauver. Et si vous y montez les loups vous y attendront et vous ramèneront à moi. J’aviserai alors de votre sentence tel un grand juge. Et la forêt sera votre tombeau. »

Si le pigeon voyageur pouvait parler, il dirait :

« Je suis dans un grand doute. J’ai vraiment très peur d’échouer et de ne pas réussir à transmettre le message. Je suis un pigeon idiot. Si je n’arrive pas à transmettre ce message, j’aurai sa mort sur ma conscience de pigeon. Tous les autres pigeons vont se moquer de moi, je n’oserai plus jamais transmettre de SOS de ma vie. Je sais que je n’y arriverai pas. Je ne suis qu’un simple pigeon sale et inutile. Je vais rester au bord d’une fenêtre : là au moins, je ne tuerai jamais personne. »

Si la voiture Chevrolet pouvait parler, elle dirait :

« Je ne suis peut-être qu’une voiture, mais j’ai une âme, des opinions, comme toutes les voitures d’ailleurs ! Nous, les voitures, tout comme vous les hommes, avons une devise à respecter. Elle a été écrite par notre grand savant japonais, Monsieur Nissan. Cette devise est la suivante : « le sage ne dit pas ce qu’il ressent, tandis que le sot ne ressent pas ce qu’il dit ». (…)Toutes les voitures du monde sont adeptes de cette devise, nous y compris, jusqu’à ce jour. Moi, en tant que chef des Chevrolet, j’ai décidé de ne plus me soumettre à cette devise. Et j’ai décidé de me venger de tout ce que vous nous avez fait, vous les hommes (…). Nous les Chevrolet, nous vous annonçons, en ce jour du 1er novembre 2013, qu’une révolution va éclater, ou devrais-je dire une guerre ? Je l’autoproclame « Troisième Guerre Mondiale » ! Attendez vous au pire… »

 

Découvrez les romans qui se cachent derrière ces images

Voici des nuages de tags, réalisés par les élèves du club lecture de Louise Weiss

A QUEL ROMAN APPARTIENT CHACUN DE CES NUAGES ?

Olivier-Cornichon pommerol1 Ivan   Pommerol2Ivan-2                                                 Mentine                                             Apache

Texte de Jean (collège Twinger) inspiré du roman « les 9 vies de Philibert Salmeck »

 

Que ferais-je si j’avais neuf vies ?

1 Dormir jusqu’à en mourir.

2 Je me promène pendant des jours jusqu’à ce qu’un piano me tombe sur la tête.

3 Je traverse l’Atlantique à la nage. Je me noie pour me faire sauver par des plongeurs.

4 J’adopte un lion, qui, d’un coup de patte, me projette par la fenêtre.

5 J’avale de la javel pour le fun.

6 J’affronte Mike Tyson.

7 Je prends ma revanche sur Mike Tyson.

8 Rencontrer Philibert Salmeck, qui me porte malheur.

9 Je ne veux pas viv re vieux donc je sors de mon bunker pour me retrouver au coeur de l’apocalypseZombi.

Jean